La Koinè, la langue commune. Au pluriel : Koinai.
S’il existe une ville en France qui tout au long de son histoire a vu ses langues se conjuguer au pluriel, c’est certainement Marseille. Multiples langages et donc multiples cultures.
Notre revue se veut le témoin de cette diversité singulière. Laissant traîner ses oreilles dans la ville, toujours à hauteur d’hommes, elle glane, ça et là, des témoignages. Ces paroles de marseillais sont retranscrites au plus près de l’authenticité du moment parlé, de leur musicalité propre, vivantes.
Marseille a commencé sa mue. Comment la ville et ses transformations modifient l’homme et ses habitudes ? Comment l’homme inscrit-il son récit individuel dans celui, collectif, de la ville ? Cette période de transition convoque dans l’écho de ses voix à la fois les ombres du passé, et l’esquisse de l’avenir.
Koinai recueille ces voix qui façonnent la ville.
Mauvaise épouse, bon professeur
Donc merci maman quoi !
Je ne céderai jamais
Notre société est masculin
Priorité : les enfants
Vision d’art… monie
… Qu’chuis belle
en chantée
Deux-pièces neutralisant
Les agents de piste doivent pas prendre feu
Vous êtes ringard
C’est la France qui fait ça
En premier, la passion de partir
Faire de la musique ailleurs
Je suis chez moi
Obligée de venir
Pour apprendre l’allemand
Pour travailler dans le métier à nous
Toujours le maçon
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