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Marseille au quotidien : habitants, mutations, parcours de vie, la ville dans tous ses états - La revue du témoignage urbain

koinai.net

La revue du témoignage urbain

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La revue du témoignage urbain

La Koinè, la langue commune. Au pluriel : Koinai.

S’il existe une ville en France qui tout au long de son histoire a vu ses langues se conjuguer au pluriel, c’est certainement Marseille. Multiples langages et donc multiples cultures.

Notre revue se veut le témoin de cette diversité singulière. Laissant traîner ses oreilles dans la ville, toujours à hauteur d’hommes, elle glane, ça et là, des témoignages. Ces paroles de marseillais sont retranscrites au plus près de l’authenticité du moment parlé, de leur musicalité propre, vivantes.

Marseille a commencé sa mue. Comment la ville et ses transformations modifient l’homme et ses habitudes ? Comment l’homme inscrit-il son récit individuel dans celui, collectif, de la ville ? Cette période de transition convoque dans l’écho de ses voix à la fois les ombres du passé, et l’esquisse de l’avenir.

Koinai recueille ces voix qui façonnent la ville.

Trois cent huit articles. Répartis en vingt-huit dossiers.

Industries Marseillaises

Voyage au pays des santons

Suivez le guide !

 Au pays de Pagnol - photo : JLopez

Nous avons visité quelques ateliers et autres boutiques de santonniers à Marseille. La liste est loin d’être exhaustive, certes, mais elle vous donnera néanmoins une petite idée de l’art et la manière de créer ces figurines si spécifiquement provençales et qui n’en connaissent pas moins un succès croissant par-delà les frontières.

Les santons Arterra Cette boutique artisanale existe depuis neuf ans. Elle emploie quinze personnes. Onze travaillent en atelier et quatre en magasin. L’accueil y est très chaleureux. Pour assister à la fabrication des santons, il faut prendre rendez-vous par téléphone quelques jours à l’avance, en précisant que vous voulez visiter l’atelier. La visite dure alors environ un quart d’heure. Les (...)

Chacun son métier

Les chaussures de tout le monde

 Les chaussures de tout le monde

« Je viens de la mécanique, moi. J’ai un C.A.P de métallurgiste et après, une dizaine ou une douzaine d’années de mécanique. La cordonnerie, ça s’est fait tout à fait par hasard, en 83, quand j’étais sur Aubagne, entre l’atelier et le garage de mécanique, et un cordonnier qui s’est installé - bon, à un moment donné, euh… le cycle a fermé, on a sympathisé, ça s’est passé comme ça. » Jean Duval, 46 ans, cordonnier rue des Abeilles.

Koinai : Comment avez-vous appris le métier ? Sur le tas. Ben, c’est ce gars qui s’est installé, et puis ça s’est naturellement fait. K : Quelles compétences la profession requiert-elle ? Du savoir-vivre ! Ah ! ah ! La priorité, c’est ça. Puis du service rendu, un peu, comment dire… Vouais, c’est un tout, en fait, c’est du savoir-vivre et du service rendu aux personnes, quoi. Enfin, on peut faire son (...)

Industries Marseillaises

Les Trois Tours du Monde des danseuses marines

Confection de voiles

 

Depuis 1979, Philippe Alessandrini dirige avec son associé Hervé Cordesse la Voilerie Phocéenne, sise à l’anse du Pharo : « Le travail, dans une petite voilerie comme la mienne, c’est de balayer jusqu’à vendre une voile, la dessiner, la concevoir, la fabriquer, la terminer ; je fais tout, hein. » De la galère de l’entrepreneur au bonheur du créateur, ouvrages promis aux vents.

Différentes voiles qu’on fabrique, oh là là ! Alors là, c’est difficile parce que c’est vachement vaste. En gros, on fait que les bateaux, on fait pas de dériveurs ni de planches à voile. Nous on est spécialisés dans les croiseurs à partir de 7 mètres, pas plus petits. À partir de là, y’a beaucoup de styles de voiles. On peut faire des bateaux jusqu’à 25 mètres, on fait des vieux gréements, aussi, jusqu’à (...)
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