Deprecated: Unparenthesized `a ? b : c ? d : e` is deprecated. Use either `(a ? b : c) ? d : e` or `a ? b : (c ? d : e)` in /home/wwwapp/spip/ecrire/inc/utils.php on line 2697
Marseille au quotidien : habitants, mutations, parcours de vie, la ville dans tous ses états - La revue du témoignage urbain

koinai.net

La revue du témoignage urbain

koinai.net

La revue du témoignage urbain

La Koinè, la langue commune. Au pluriel : Koinai.

S’il existe une ville en France qui tout au long de son histoire a vu ses langues se conjuguer au pluriel, c’est certainement Marseille. Multiples langages et donc multiples cultures.

Notre revue se veut le témoin de cette diversité singulière. Laissant traîner ses oreilles dans la ville, toujours à hauteur d’hommes, elle glane, ça et là, des témoignages. Ces paroles de marseillais sont retranscrites au plus près de l’authenticité du moment parlé, de leur musicalité propre, vivantes.

Marseille a commencé sa mue. Comment la ville et ses transformations modifient l’homme et ses habitudes ? Comment l’homme inscrit-il son récit individuel dans celui, collectif, de la ville ? Cette période de transition convoque dans l’écho de ses voix à la fois les ombres du passé, et l’esquisse de l’avenir.

Koinai recueille ces voix qui façonnent la ville.

Trois cent huit articles. Répartis en vingt-huit dossiers.

Industries Marseillaises

Voyage au pays des santons

Suivez le guide !

 Au pays de Pagnol - photo : JLopez

Nous avons visité quelques ateliers et autres boutiques de santonniers à Marseille. La liste est loin d’être exhaustive, certes, mais elle vous donnera néanmoins une petite idée de l’art et la manière de créer ces figurines si spécifiquement provençales et qui n’en connaissent pas moins un succès croissant par-delà les frontières.

Les santons Arterra Cette boutique artisanale existe depuis neuf ans. Elle emploie quinze personnes. Onze travaillent en atelier et quatre en magasin. L’accueil y est très chaleureux. Pour assister à la fabrication des santons, il faut prendre rendez-vous par téléphone quelques jours à l’avance, en précisant que vous voulez visiter l’atelier. La visite dure alors environ un quart d’heure. Les (...)

Femme aujourd'hui

L’argent de mon assurance

Être son propre patron

 L’argent de mon assurance

« Sentie femme ? Ah bon ! Bè… depuis que j’ai vu mes enfants grandir. Voilà, les enfants oui, c’est une responsabilité, hein ! Et je sais pas si… après ils sont reconnaissants. Je sais pas. Moi je trouve plus de douceur si c’est une fille… un garçon… heu… C’est surtout le garçon, je trouve beaucoup plus doux que la fille. » Chantal, 53 ans.

Koinai : Quel genre de femme êtes-vous ? Quel genre de femme ? Je suis une battante, hè. Oh ! j’adore travailler. Malheureusement, à la suite d’une agression donc, je suis sur le fauteuil roulant, mais si jamais j’ai de l’argent - parce que j’attends de l’argent de mon assurance - eh bè, je vous jure que je créerai un commerce. Je ferai une création de quelque chose. Ça c’est sûr, hè ! C’est une (...)

Les voix du chantier

Les prescriptions de l’urbaniste

 Les préscriptions de l’urbaniste

« La rue de la République, à ma connaissance, elle a jamais été très investie par les Marseillais. Pour quelqu’un comme moi qui connaît Marseille depuis vingt-cinq ans et qui aime cette ville - je suis allé me balader, j’ai des tas de bouquins, j’ai des plans... - c’est un truc pourri. On n’y allait jamais. Même quand on était étudiants, on allait jamais rue de la République. Les seuls moments où on allait rue de la République, c’était pour manger pas cher, c’est-à-dire chez un Arabe ou un couscous, un truc comme ça. » Yannick Mahe, urbaniste.

Je suis originaire du Finistère et des Côtes d’Armor. Je suis urbaniste et aménageur de formation. J’aime beaucoup l’histoire des villes, me promener, regarder les façades, retrouver les époques, le tracé des rues. Actuellement je travaille sur le projet d’agglomération, partie Toulon, Provence Méditerranée, Nice. Je ne travaille pas sur le dossier de la rue de la République, c’est pour ça que je suis (...)
Creative Commons License La revue du témoignage urbain (http://www.koinai.net), développé par Résurgences, est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons : Paternité-Pas d’Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France.
La revue Koinai : qui et pourquoi ?   |   Koinai ?   |   Mentions légales   |   Appel à contribution Plan du site
Site propulsé par l'Atelier du code et du data, chantier d'insertion numérique