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Les vivants d’argile du Cabanon des Accoules

L’histoire d’un maître santonnier du Panier

 

« Plutôt timide et secret, enfant j’étais souvent tout seul. Et avant même de faire des santons, quand j’étais très petit, six, sept, huit ans, à l’époque on m’offrait à Noël - je sais pas si ça existe toujours - de la pâte à modeler, et je faisais sur une table un imaginaire d’animaux. À l’époque - vous pouvez pas connaître ça - c’était la mode des indiens et des cow-boys. Moi, j’étais toujours pour les indiens. Et je faisais des petits personnages, des ours, et cætera et je me faisais un imaginaire. Donc en réalité, avec les santons je continue. » André-Martial Robbe, 65 ans, maître santonnier marseillais.

Koinai : "Santonnier", c’est un métier ? Ouais, c’est un métier. Les santonniers fabriquent deux sortes de santons, les santons habillés, et les santons dits "de crèche", d’argile. Les santons habillés que tout le monde connaît sont devenus des santons de décoration et d’ameublement, et ils descendent directement des santons d’église du XIIe-XIIIe siècle, à l’époque de Saint-François d’Assise. C’est lui (...)
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