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Marseille au quotidien : habitants, mutations, parcours de vie, la ville dans tous ses états - La revue du témoignage urbain

koinai.net

La revue du témoignage urbain

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La revue du témoignage urbain

La Koinè, la langue commune. Au pluriel : Koinai.

S’il existe une ville en France qui tout au long de son histoire a vu ses langues se conjuguer au pluriel, c’est certainement Marseille. Multiples langages et donc multiples cultures.

Notre revue se veut le témoin de cette diversité singulière. Laissant traîner ses oreilles dans la ville, toujours à hauteur d’hommes, elle glane, ça et là, des témoignages. Ces paroles de marseillais sont retranscrites au plus près de l’authenticité du moment parlé, de leur musicalité propre, vivantes.

Marseille a commencé sa mue. Comment la ville et ses transformations modifient l’homme et ses habitudes ? Comment l’homme inscrit-il son récit individuel dans celui, collectif, de la ville ? Cette période de transition convoque dans l’écho de ses voix à la fois les ombres du passé, et l’esquisse de l’avenir.

Koinai recueille ces voix qui façonnent la ville.

Trois cent huit articles. Répartis en vingt-huit dossiers.

Paroles de commerçants

Ce qui manque aujourd’hui, c’est des commerces, une vie, quoi !

Un quartier, ce sont des habitants et des commerces. A vrai dire, la nouvelle rue de la République manque un peu des deux. L’avis d’un pharmacien.

Koinai : Est-ce que les travaux ont apporté un plus à votre commerce ? Au départ, on dirait un moins, parce qu’en fait, la rue était bloquée par les palissades, le tramway, la rénovation du quartier.... Donc, y avait plus personne, c’était un peu dur de faire face. Bon, maintenant ça prend forme petit à petit après beaucoup de difficultés a priori. Les commerces, y en a plus guère. Ca se repeuple petit à (...)

Serial photo

Les fresques urbaines I

La ville est le lieu sacré où s’expriment les arts de la rue.
Sur tous ses murs s’accrochent des farandoles colorées de grafs, fresques murales, et autres collages…
… sorte de tatouages urbains qui recouvrent en partie "la peau des murs" marseillais.


Sur la route

En premier, la passion de partir

Migrant français

 sac export

« Je rentre cette année dans le club des cinquantenaires, de ceux qui ont mal au cou quand ils se lavent le matin. Il y a six, sept ans je suis parti en Indonésie. Depuis je fais de l’import-export. J’ai une petite fabrique là-bas de meubles en bois exotique. J’ai toujours adoré ce métier-là parce que ça fait rêver, ça fait le voyage. Mais j’avais pas envie de m’installer à 100% à l’étranger, de vivre dans un autre pays. J’avais envie de faire de l’import-export... Ce retour à chaque fois. Normalement je reste sept mois par an en Indonésie et cinq mois en France : deux mois là-bas, un mois ici. » Philippe Escanes, entrepreneur marseillais.

Koinai : Quelle est votre formation initiale ? Ma formation de base ! Je suis un autodidacte. Je viens des périodes fabuleuses des années 70 où on connaissait ni le chômage, ni le sida, ni les préservatifs, c’est extraordinaire. Donc ma formation de base, disons que j’ai passé mon bac et après comme on avait 0% de chômage je suis parti aux Beaux-Arts. J’en avais rien à foutre d’aller faire les études (...)
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